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Le tourisme de masse

20 mai 2013

BIBLIOGRAPHIE

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20 mai 2013

Conclusion Le tourisme est bon pour un pays

Conclusion

Le tourisme est bon pour un pays lorsque les recettes qu'ils génèrent sont équitablement réparties entre un maximum de partenaires locales et non comme c'est le plus souvent le cas.
Des lobys de complexes hoteliers ont pris d'assault les pays du monde entier ne laissant pas les populations habitantes se défendre.
C'est dans les domaines sociologiques que l'impact du tourisme est le plus aisé à démontrer car il suffit de voyager pour se rendre compte. Cependant, ce n'est pas toujours ce qui interpelle le plus les touristes car ceux-ci s'attachent davantage à leur propre confort, à la qualité de service, à leur santé en voyage, à leurs dépenses et font souvent peu cas de leurs hôtes.
Certains comportements extrêmes des touristes occidentaux sont la cause de bien des malheurs dans les pays du Sud. C'est le cas notamment du tourisme sexuel qui donne lieu à une dramatique prostitution enfantine. Ceci constitue le cas le plus grave de l'impact négatif que peut avoir le tourisme sur une population réceptrice.

Mais outre ces problèmes sociaux qui sont urgents dans certains pays. Je tire la sonnette d'alarme sur d'autres pays qui sont peu regardants quand aux traitements des déchets liés aux tourismes, qui forment un impact environnemental non négligeable qui est en train de se révéler très dévastateur pour notre planète.

20 mai 2013

Les nouveaux types de tourisme de masse Il s'est

Les nouveaux types de tourisme de masse

Il s'est démarqué ce XIXe siècle trois nouveaux genres de tourisme, qui sont, même dans certains pays, entrés dans les nurses. En première ligne, le tourisme lié à l'alcool, le tourisme sexuel qui a toujours existé mais qui s'est maintenant organisé, et pour finir un tourisme beaucoup moins connu, le narcotourisme.

L'alcool et ses pays phares

On a depuis longtemps fété la St Patrick le 17 Mars mais aujourd'hui avec les moyens de transport on a la possibilité de la féter dans le pays même dans une ambiance joyeuse, et beaucoup se laisse tenter chaque année. Il y a des mauvais cotés à ce tourisme, en espagne sur la côte, il y a des villes comme lloret del mar, où se déroulent chaque semaine pendant la belle saison des spring break à l'américaine. Des hôtels tout compris alcool à volonté et badge pour toutes les boîtes de la ville le soir ont fleuri le long de la côte au désarroi des habitants mais aussi des familles des touristes qui craîgnent l'accident...

En France, il y a ce qu'on appelle l'oenotourisme, un tourisme qui attire les populations du monde entier pour déguster nos vins, comme on a pu l'admirer au Palais des Papes à l'occasion des découvertes en vallée du Rhônes.

Le tourisme sexuel

Autre fois pratiqué dans l'ombre, il y a de très nombreux pays qui se sont réglementés à leur façon en faveur à la prostitution et au proxénétisme. Aux Pays Bas, mais comme d'autre pays, il devint banal de voir des maisons closes et autres, cela reste un traffic organisé bien qu'une grande partie des prostituées soit étrangères et sans papiers. Mais là n'est pas le plus grave, il y a des pays comme la Thaïlande ou l'Inde, où la prostitution est devenue une banalité, même les mineurs y sont mêlés. L'achat d'esclaves y est encore pratiqué, des pratiques qu'on aurait pu croire oublié mais revenues au goût du jour en proie à la pauvreté.

Le narcotourisme

Les Pays Bas en sont la capitale, la présence de coffee-shops répond à une politique de promotion du narco-tourisme. Cette filière dégage chaque année plus de soixante milliards d’euros de chiffre d’affaires. Une manne en grande partie assurée par la demande croissante de touristes appâtés par sexe et drogues

20 mai 2013

Coup de gueule – Le Slum tourism Le “slum

Coup de gueule – Le Slum tourism

Le “slum tourism” ou tourisme de la misère, est comme son nom l'indique un voyage vers la pauvreté. C'est un nouveau tourisme, qui ne semble pas conventionnel. Son action n'est pas sans impact sur les populations touchées.

Le tourisme de la misère a ses défenseurs, qui disent qu'il favorise la prise de conscience des problèmes sociaux. Et qu'il est une bonne source de revenus pour soutenir l'économie locale.
Mais ceci n'est qu'un voile, une publicité mensongère. Le tourisme de bidonvilletransforme la pauvreté en spectacle, en expérience que l'on peut vivre un moment avant de s'en extraire. Ce n'est absolument pas moral de penser pouvoir profiter de la pauvreté d'une population à des fins ludiques ou bien récréatives.

Un des principaux méfaits de ce tourisme, c'est l'impact économique. Qui est en faite maquillé, les bénéficiaires des gains sont des agences de voyages, puisque les voyages ne durent que quelques heures. Les voyageurs dorment dans des complexes hoteliers le plus souvent loin de tout ça. Et seul le guide touristique, qui est souvent un habitant même du bidonville, gagne un peu à ce tourisme mais il ne gagne pas assez pour que tous les acteurs de ce tourisme soit rémunérés...

Le vice des promotteurs de ce genre de tourisme, c'est qu'ils induisent aux gens qu'ils vont participer à la réinsertion sociale de ces populations. Les gens pensent avoir vraiment "vu" la pauvreté, ils pensent pouvoir la comprendre aprés un tel voyage, puis ils retournent à leur vie et laissent des familles et des quartiers, exactement dans le même état qu'à leur arrivée.

Ce type de tourisme ne semble être qu'une facette d'un traffic bien plus important, on ne comprend pas bien ce que des occidentaux iraient faire dans de tels lieux, cela est la porte ouverte à tous les vices, à toutes les horreurs.

20 mai 2013

La privatisation des sols Les plages, nouvelles

La privatisation des sols

Les plages, nouvelles proies des investisseurs

En effet, dans le sud de l'Europe, dans des pays où la crise frappe de plein fer, le gouvernement cède peu à peu des sols, mais surtout des plages. Alors que la loi européenne “littoral”, parue au journal officiel en 2006, promet et garantit un libre accès sur tout le littoral. On voit une augmentation de la privatisation des plages notamment en Italie, 5.568 en 2001 à plus de 12.000 plages privées aujourd’hui. Cela représente 900 des 4000 km de littoral italien.

En Grèce, même problème face à la crise, l'état a décidé de concéder sur une période de cinquante ans, pour l'instant, plus de 186 hectares comprenant des plages et autres capitaux grecques, tous aussi prestigieux.

Las végas Mégalos en Espagne

Le multimilliardaire américain, Sheldon Adelson, entend construire le Las Vegas européen. Président et premier actionnaire de Las Vegas Sands (LVS). Il serait prêt à investir plus de quinze milliards de dollars dans ce projet. Une aubaine pour les espagnols, plus de 250 000 emplois pourraient être créés, mais à quel prix?

Son projet se veut très ambitieux : six casinos, 18 000 machines à sous, trois terrains de golf, neuf théâtres, un auditorium de 15 000 places, douze hôtels, soit 36 000 lits, et 50 000 tables de restauration

Mais en plus de tout cela, plus d'une trentaines de conditions économiques et environnementales sont négociées par LVS. Certaines remettant même en cause des fondements européens...

L'entreprise exigerait la cession gratuite du sol public où se situera le complexe, deux ans d'exemption de cotisations sociales, dix ans d'exemption de la TVA, de la taxe sur le jeu et de l'impôt sur l'immobilier, ou encore une réduction de 95 % de l'impôt sur la transmission patrimoniale et de 50 % sur l'impôt sur les activités économiques. LVS demanderait aussi une réforme du statut des travailleurs, l'autorisation d'entrée dans les casinos pour les mineurs, y compris ceux qui sont interdits d'accès aux casinos. Enfin, elle désire que les joueurs qui font des transferts de fonds aux casinos sans se déplacer ou utilisent des intermédiaires n'aient pas à s'identifier...

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20 mai 2013

La production de déchets Un exemple des

La production de déchets

Un exemple des productions de déchets abusives liées au tourisme de masse, c'est à Cancùn au Méxique, ville de 700 000 habitants, croule chaque jour sous 750 tonnes de déchets : la moitié provient des 700 000 habitants, l’autre moitié de ses 26 000 chambres d’hôtels…

A la Barbade, les eaux usées envoyées par les hôtels dans la mer, même si elles sont traitées, restent tout de même riche en azote, lequel détruit les plantes maritimes. Chaque année, les barrières de corail reculent et deviennent de plus en plus rares. Ce sont les plongeurs amateurs qui piétinent et le détruisent, ainsi que le mauvais traitement des déchets des hotels costiers dans tout le monde et même en Europe où le traitement des déchets prends un tournant écologique majeur.

La pollution invisible

Les voyageurs ne le savent certainement pas mais le tourisme serait responsable de plus de 5% des émissions de CO2 mondial, et sur cette part la moitié serait directement liée aux rejets de CO2 par les avions...

En effet, avec plus de 80 000 vols par jour et donc plus de trente millions par an, les avions sont un gouffre à carburant, invisible pour le touriste... En moyenne un vol Paris – New-York rejette 2,5 tonnes de CO2.

 

20 mai 2013

Les différents enjeux liés aux populations

Les différents enjeux liés aux populations primitives

Des tribus primitives

Il existe encore des tribus indigènes comme les jarawas, ils vivent sur les îles andamans en Inde. Il ne reste qu'une poignée de ces tribus, car leur territoire est en danger.

La principale menace qui pèse sur les Jarawas est l’invasion de leur territoire qui a commencé dans les années 1970 avec la construction d’une grande route traversant leur forêt. La route amena les braconniers et autres colons dans un premier temps, mais de nos jours le tourisme représente également une menace pour les Jarawas. Des tours-opérateurs conduisent chaque jour des touristes le long de la route qui traverse la réserve dans l’espoir de rencontrer des membres de la tribu. Malgré l’interdiction, des touristes s’arrêtent régulièrement pour établir un contact avec les Jarawas. Un complexe hotelier a vu le jour près de la réserve des Jarawas exposant la tribu à davantage de contacts avec le monde extérieur.

Comment expliquer la perte d'anciennes traditions de par le monde ?

Dans les pays du sud notamment, les cultures des peuples autochtones sont particulièrement vulnérables car facilement soumises à la domination occidentale. Or, dans ces pays, le tourisme est souvent vu comme la solution miracle qui va permettre de rentrer l'argent dans le pays et de pouvoir se développer.

Du bon dans les pertes de traditions

Certains pays comme la Chine, ont avec la mondialisation dû attendrir leur régime et de ce fait il y a eu de nombreuses pertes d'anciennes traditions, mais des traditions souvent lourdes, qui n'en sont que bénéfiques pour le pays. C'est une libération, l'homme est plus libre sans traditions.



20 mai 2013

Le tourisme équitable La charte du tourisme

Le tourisme équitable

La charte du tourisme équitable

Cette charte est issue de la PFCE (plate forme du commerce équitable) créée en 2002 par le groupe de travail “Tourisme”.

Le voyage est un moyen privilégié de lien et de compréhension entre les peuples. Il doit permettre l’épanouissement du voyageur et de l’accueillant sur les plans personnels, culturels et économiques. Ses ressources doivent profiter équitablement aux populations d’accueil et contribuer au développement durable de leur territoire d’accueil.   “

Le tourisme équitable s'adresse à des voyageurs responsables, qui souhaitent limiter l'impact de leurs voyages. Les bénéfices sociaux, culturels et financiers de ces activités doivent être perçus en grande partie localement, et équitablement partagés entre les membres de la population autochtone.

L'écotourisme

L'écotourisme est «une forme de voyage responsable dans les espaces naturels qui contribue à la protection de l'environnement et au bien être des populations locales» (International Ecotourisme Society).

  • L'écotourisme rassemble toutes les formes de tourisme axées sur la nature et dans lesquelles la principale motivation du touriste est d'observer et d'apprécier la nature ainsi que les cultures traditionnelles qui règnent dans les zones naturelles.

  • Il inclut les communautés locales et indigènes dans sa planification, son développement et son exploitation et contribue à leur bien être

  • Il favorise la protection des zones naturelles :

    • en procurant des avantages économiques aux communautés d'accueil, aux organismes et aux administrations qui veillent à la préservation des zones naturelles ;

  • en créant des emplois et des sources de revenus pour les populations locales .

  • Il comporte une part d'éducation et d'interprétation du patrimoine naturel et culturel

  • Il est généralement organisé, mais pas uniquement, pour des groupes restreints par de petites entreprises locales spécialisées. On trouve aussi des opérateurs étrangers de dimensions variables qui organisent, gèrent ou commercialisent des circuits écotouristiques, habituellement pour de petits groupes.



20 mai 2013

Les événements sportifs mondiaux Depuis tout

Les événements sportifs mondiaux

Depuis tout temps, l'homme s'adonne à des activités sportives, et au fûr-et-à-mesure de l'évolution, le sport est aussi devenu une forme de tourisme.

En effet, cette forme de tourisme suit l'évolution de la technologie du transport, puisque on va de plus en plus loin pour pratiquer ou bien regarder, voir supporter une activité sportive.

Ainsi aujourd'hui avec la croissance des médias, Jeux olympiques, Football, Formule 1, le tennis, le tour de France, ... Personne ne peut échapper à l'offre sportive, tout le monde connait les champions.

Les événements qui attirent le plus de monde sont la Coupe du monde de football et les jeux olympiques d'été, il fallait s'en douter.

Quelques chiffres des Jeux Olympiques de londres

Il y a eu vente de 11,1 millions de billets, dont 6,6 millions à des britanniques.
9,3 millions de livres dépensés à l'organisation de ces Jeux.
Mais c'est aussi plus de 230 tonnes de pommes de terres, 75 000 litres de lait et plus de 330 tonnes de fruits et légumes.

Quelques chiffres pour se rendre comptes de l'événement et de ses retombées économiques, qui sont très difficilement chiffrables...

Sydney, Jeux Olympiques de l'an 2000

Une spectaculaire augmentation de la fréquentation touristique du continent australien de plus de 40%.

Pourquoi une telle croissance de ce tourisme ?

Le tourisme sportif à l'avantage d'allier une passion et une activité, à un voyage et donc tous les aspects positifs du voyage. Notamment la découverte d'un pays.

20 mai 2013

La naissance du tourisme de masse Le tourisme

La naissance du tourisme de masse

Le tourisme existait bien avant le tourisme de masse, mais c'est en 1936 avec l'essor des congés payés que la société a réélement commencé à pouvoir parler de tourisme de masse.

On parlait de tourisme thérapeuthique, la découverte des montagnes, le tourisme gastronomique existe lui-même depuis longtemps.

Mais il a fallu attendre la signature des accords de Matignon, dans la nuit du sept au huit juillet 1936, entre la CGT, Léon Blum et la confédération générale du patronat, ainsi que l'état. A l'issu desquels le peuple a pu obtenir la semaine de 40 heures et les congés payés, quinze jours par an.

De là, on assiste à la montée du tourisme de masse, lente dans un premier temps, perturbée par les guerres et ce qu'elles ont engendré. Mais bien plus rapide lorsque nous sommes rentrés dans les Trentes Glorieuses.

L'industrie du tourisme est une bonne raison d'être heureux: en 2006 la filière représente environ 11% du PIB mondial et 8% de l'emploi mondial.

Comment se caractérise le tourisme de masse ?

Le tourisme de masse n'a pas, contrairement aux formes de tourisme classiques, l'objectif de découvrir un site ou une activité (tourisme religieux, oenotourisme, ...), c'est en faite une appellation théorique pour catégoriser certaines formes de voyages, telles que des voyages dans des lieux très limités comme les gros complexes hoteliers, ou bien les grosses villes très modernisées.

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Le tourisme de masse
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